Forte de son expérience professionnelle dans le domaine de la politique de la recherche et sa formation juridique spécialisée en droit de la santé, Chloé Gay-Balmaz rédige actuellement à la faculté des sciences juridiques de l’Université de Berne une thèse de doctorat consacrée aux droits fondamentaux des participantes et participants aux biobanques de recherche. En parallèle, elle a travaillé en tant qu’assistante de recherche à l’Institut de droit de la santé de l’Université de Neuchâtel et au Bureau du Préposé fédéral à la protection des données et à la transparence.

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